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1.
A Visage Nu 04:01
Il n’y a pas si longtemps Y’avait encore de la tendresse Dans ton regard. J’n’ai pas vu comment Toutes nos promesses Ont fini au placard. Il n’y a pas si longtemps Y’avait un sourire Sur tes lèvres. J’n’ai pas vu comment Il a pu s’enfuir De mes rêves. A visage nu Nous nous regardons Mes yeux ne voient plus L’ombre d’un pardon Il n’y a pas si longtemps Tu avais les gestes De l’amour. Il faut dire maintenant Qu’il n’en reste Que les contours. A visage nu Nous nous regardons Mes yeux ne voient plus L’ombre d’un pardon Il n’y a pas si longtemps Tu aurais été là Pour m’écouter Il n’y a pas si longtemps Peut-être pas Mais bien assez.
2.
Des Gens 05:10
Des gens, des gens comme toi, des gens comme moi Cherchons tous à construire la vie, Mais tu sais c’est comment la vie ! Des fois ça va Et des fois … Pas Des gens, des gens comme moi, des gens comme toi Qui cherchent à tout prix le chemin, Mais tu sais comment c’est demain ! On n’choisit pas Ou tellement pas REFRAIN Mais tellement pas, c’est déjà un espoir pour moi Et c’est si peu que parfois j’y crois pas Et tellement pas, c’est déjà la lumière du jour C’est tellement fort que parfois je crois à l’A . . . . . Des gens, des gens comme eux, des gens comme vous Pendus aux cordons de leurs bourses (aie aie aie) Mais tu sais comment c’est l’argent ! Des fois t’en as Et des fois pas Ces gens, ces gens comme vous ces gens comme moi Qui n’ont plus vraiment de valeurs Ces gens là ont aussi un cœur Un cœur qui bat Et des fois pas REFRAIN Un cœur qui bat, c’est déjà un espoir pour moi Mais c’est si peu, s’il bat tout seul … Tout seul Un cœur qui bat c’est tout l’amour que j’ai pour toi Et notre chance d’être ensemble ici bas. Ces gens, les gens qui aiment ou qui n’aiment pas Cherchent l’âme sœur de leur cœur Mais tu sais c’est comment le bonheur ! On cherche tous. On cherche tous ! Des gens, des gens comme nous, des gens comme ça ! Nous sommes des milliards alentour Des milliards en quête d’amour. L’amour ! L’amour ! L’amour ! C’est le soleil du petit jour. C’est le soleil du petit jour.
3.
T'es mon p'tit cœur Mon p'tit bonheur Mon p'tit sauv’teur Qu’ arrive à l'heure A point nommé Pour me tirer De cette saleté D'morosité Main dans la main Sur les nuages Je vois demain Comme un partage Tout est plus beau Tout est nouveau Tout est plus grand Vu de là haut Refrain Je rêve de toi Tout simplement Tu marches comme ça Tout simplement Je te regarde Et tu le sais Je te regarde Et ça te plait Je rêve de nous Il faut rêver Pour aller où On peut s’aimer Je rêve de choses Qu’existent pas Idées écloses Tout contre toi Des choses plus belles Des choses plus grandes T'es la plus belle T'es la plus tendre T'es mon p'tit cœur Mon p'tit bonheur Tu m’fait rêver Imaginer. Refrain Je rêve de toi Tout simplement Tu marches comme ça Tout simplement Je te regarde Et tu le sais Je te regarde Et ça te plait Si c’est pas tout C’est déjà ça Car avant toi C’était plus ça. Alors mon cœur, Mon p’tit bonheur J’te dis merci Juste merci Ca nous suffit. Refrain Je rêve de toi Tout simplement Tu marches comme ça Tout simplement Je te regarde Et tu le sais Je te regarde Et ça te plait
4.
Gris ! 04:36
Regard profond qui fouille l’âme De ses yeux gris droit dans mon cœur Cherche l’image de son bonheur Lumière subtile, regard de femme Porte entr’ouverte ou bien mi-close Dont je me grise quand je l’ose - Tant je l’adore Encore, encore. - Regard entier qui me provoque Rayons gris-bleu intensités Rayons laser pour me guider Mes bras s’envolent et s’auto-bloquent Qui sur ses hanches ou ses épaules Car c’est elle qui choisit mes rôles - Tant je l’adore Encore, encore. - Flash de colère et flammes d’acier Des yeux qui griffent et qui lacèrent Pyrogravures vraies et entières Gris froid gelé aiguilles glaciers Transperce les faux les semblants Mais nous savons qui de nous ment ! - Et je l’adore Encore, encore. - Douceur lagon le bleu du ciel De la tendresse à perdre haleine Flot envahit coule dans ses veines Le gris bleuté juste essentiel Submerge un espace irréel Qui prend sa source au profond d’elle - Et je l’adore Encore, encore, encore, encore...
5.
A Ton Eveil 02:32
A ton éveil Se réveiller à ses côtés, Son corps tout chaud contre ma peau, Ses cheveux blonds sur l’oreiller Comme le soleil d’un jour nouveau. Son sourire de jolie gamine Qui prendrait la vie comme un jeu Qui s’allume et qui illumine Jusqu’à l’ardoise de ses yeux. Se réveiller à ses côtés, Ses yeux, son visage, sa parure, Comme la promesse d’une aventure Chaque matin renouvelée Je veux souhaiter à chacun De vivre de si doux matins Mais je conserve jalousement La tendre joie de ces instants.
6.
Avatar 03:48
Avatar J’l’ai rencontrée un soir Une nouvelle histoire C’était pas le hasard C’était sa robe noire Sa démarche guépard Le noir de son regard Et dans ses yeux miroir Il m’a bien semblé voir La mort Elle s’approche du bar Elle me regarde bizarre Ses yeux sont deux poignards Qui fouillent ma mémoire Je ne peux pas y croire Elle est en train de boire Le fil de mon histoire Je suis son avatar Je suis … la mort Ce soir Je change d’histoire Je suis l’avatar D’un être sans corps Ce soir Livré au hasard Je suis le cauchemar Au royaume des morts J’hérite du pouvoir Et je peux tous vous voir Vous êtes des milliards La vie est votre espoir La mort est mon devoir Et vous devez savoir Qu’au grand réquisitoire Aucune échappatoire A la mort Ce soir Je change d’histoire Je suis l’avatar D’un être sans corps Ce soir Livré au hasard Je suis le cauchemar Au royaume des morts Je me lève il est tard Et j’arrête de boire Ce cauchemar dérisoire M’a permis d’entrevoir Cette phase transitoire : La vie, bonjour, bonsoir. Sans s’en apercevoir Il est souvent trop tard. Et j’ai compris ce soir Qu’il faut vivre d’espoir Et j’ai compris ce soir Qu’il faut vivre d’espoir.
7.
Il Te Faut 03:50
Ton p’tit ami pleure sur ton épaule Aujourd’hui tu joueras ton rôle. Ecouter tous ses p’tits malheurs Mais faudrait pas qu’ça dure des heures. Un gros câlin, tu le désarmes Et puis vite oublier le drame Faudrait qu’il arrête ses délires Mais pour retrouver le sourire … Il te faut, il te faut, il te faut, Du soleil et du rock, du soleil et du rock Du soleil et du rock, du soleil et du rock Et puis du blues. Crevée, vannée tu rentres chez toi Faut grimper là-haut sous les toits, Pas oublier les cigarettes, Regarder dans la boite aux lettres, Et t’as l’plaisir de découvrir Un p’tit courrier d’la préfecture Qu’est bien la seule à se souvenir Du temps où t’avais une voiture. Demain sera un autre jour Du moins c’est bien c’que tu souhaites Parce que les incidents d’parcours Il faudra bien que ça s’arrête. Demain tu vas r’trouver tes potes Pour t’éclater comme une sauvage Sur la musique d’une époque Qui traversera tous les âges. Tous les p’tits tracas quotidiens Se donnent le mot pour nous miner. Ils auront le mot de la fin A force de nous harceler. Mais d’ici là jurons sur terre D’en profiter jusqu’à plus soif De traverser toutes les galères Pour finir graver l’épitaphe : Il te faut, il te faut, il te faut, Du soleil et du rock, du soleil et du rock Du soleil et du rock, du soleil et du rock Et puis du blues.
8.
Il t'attend 03:45
J'imagine un soleil perdu, Perdu dans la brume En fermant les yeux Allongée sur ce lit blanc. Et même si tu regrettes notre vie, Notre vie commune, C'était bien nous deux Avant d’attendre l'enfant. C’est la vie qui grandit en moi Et elle aurait besoin de toi. C’est la vie qui grandit en moi C’est comme un autre petit toi ! Tu ressembles au soleil Perdu dans la brume, Tu fermes les yeux Pour ne pas voir cet enfant. Je veux retrouver l'homme, Cet homme qui assume. Choisi d'être heureux vraiment, Je te dis : Viens, il t'attend. J'ai cherché le pourquoi : Peur de l'inconnu ? Liberté perdue ? Mais rien ne change vraiment. Tu as peur de la vie, Tes choix te consument. Choisi d'être heureux vraiment, Je te dis : Viens, il t'attend. Viens, il t'attend. Viens, il t'attend.
9.
Utopie 04:03
La peau, la couleur, Les larmes, les pleurs, Cet autre, frère ou sœur, Cet autre qui fait peur ? Des milliers de raisons, des principes, des croyances, Des tabous des concepts, trop vils, trop vieux, trop rances, Agrémentés bien sur, assaisonnés d’errances. Des manipulations ! Mais qui mène la danse ? Le moins, le plus, pauvre Crésus ! Du sang des larmes et des rhésus ! L’avidité a faim, elle mange de la souffrance. Le pouvoir qui a soif, boit de l’intolérance. Repus de leur bêtise, digèrent notre espérance Et face à la bonté rote de la vengeance. Le moins, le plus, pauvre Crésus ! Du sang des larmes et des rhésus ! Moi je veux des caresses, de la lumière, des éclats de rires Moi je veux cet autre, sa douceur, son désir, De l’amour toujours plus, Un terreau, de l’humus, Du futur, l’utérus sera-t-il l’avenir ? Moi je veux de l’enfance, Moi je veux de la confiance, Des vies, des vies, des vies de … tolérance, Moi je veux, je veux, je veux du … bon sens ! Et toi ! Qu’est-ce que tu veux ? Qu’est-ce que tu veux ?
10.
cArNaRaGe 04:56
cArNaRaGe Noir dans mon crâne Mon cerceau nage Dans un orage D’enfer de flammes Ouvrir les vannes Crier ma rage Si je surnage A cette femme Je dérapage Dans cette ville Cet inutile Amas de cages Déchire la page Jette ta haine Sur ces « je t’aime » Tous hors d’usage Y’avait pas d’amour aussi bleu Pas d‘aussi belle histoire à deux Pas de soleil assez puissant Pour aveugler nos sentiments, Pas une seule courbe de son corps Que je ne connaissais encore Pas une seule pensée de son âme Elle était bien plus belle que femme ! Elle avait tout entre ses mains Mes sensations, mon cœur, ma vie Si je piétine nos lendemains C’est que la confiance est trahie Et maintenant … Le cArNaRaGe A mon aval Mais je surnage Et j’ai si mal
11.
Touchez pas l'innocence! Touchez pas la jeunesse! La vie n'a plus de sens Loin de l'adolescence Que l'on tue ... A petit feu. Les enfants qui ont faim, Les enfants que l'on bat, Quand on leur tend la main Il vous prennent le bras, Pas besoin de dépit Pas besoin de discours, Pour changer une vie Il faut un peu d'amour Que l'on respecte Évidemment. On me parle de la drogue, Je vous parle de la mort, Reconnaître à la morgue Quinze ans qui s'évaporent, Ca fait hurler (Pour changer une vie ...) Plus que la rage. (... Il faut un peu d'amour) Ça fait hurler Plus que la rage. Touchez pas à l'enfant! (... Il faut un peu d'amour que l'on respecte ...) Touchez pas à ma chair! (... Évidemment !) Touchez pas à mon sang. Je n'ai que la misère Après lui sur la terre. Touchez pas la tendresse! Touchez pas l'innocence! Touchez pas la jeunesse. (Pour changer une vie Il faut un peu d'amour !) La vie n'a pas de sens Loin de l'adolescence Que l'on tue ... Que l'on tue ... A petit feu ! (Il faut un peu d'amour ! Évidemment.) A petit feu !
12.
Tu t'appelais romance, Te prénommais silence; Que reste-t-il Du temps qui passe, Quand les aiguilles Restent à leur place, Comme cette île Et ce rapace, Presque immobiles, Ivres d'espace ? Oh ça fait mal, de t'avoir perdu! Oh ça fait mal, de t'avoir méconnu! Je t'ai aimé ruisseau, Je me voyais dans l'eau De ton regard D'adolescent Où le hasard Devînt torrent, Sans crier gare! Y'a plus d'enfant, Il est trop tard, Y'a plus d'parents Oh ça fait mal, de t'avoir perdu! Oh ça fait mal, de t'avoir méconnu! Si les aiguilles se sont plantées Dans la tendre chair de tes bras, Si doucement ton sang a coulé Jusqu'à glisser entre tes doigts; C'est que tu nous tendais la main En refusant tous nos discours, Tu ne voulais que notre amour Pour échapper à ton destin. Mais je n'ai pas vu! Non, je n'ai pas vu! Oh ça fait mal, de t'avoir perdu! Oh ça fait mal, de t'avoir méconnu! Tu t’es appelé souffrance, T’es prénommé silence; Tu étais fier Et malheureux Comme un désert De mille feux, Crève de désir Qu'une rivière Vienne mourir Dans son enfer. Oh ça fait mal, de t'avoir perdu! Oh ça fait mal, de t'avoir méconnu! Si les aiguilles se sont plantées Dans la tendre chair de tes bras, Si doucement ton sang a coulé Jusqu'à glisser entre tes doigts; C'est que tu nous tendais la main En refusant tous nos discours, Tu ne voulais que notre amour Pour échapper à ton destin. Mais je n'ai pas vu! Non, je n'ai pas vu! Oh ça fait mal

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released February 23, 2014

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Coralexis Laurion Paris, France

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